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Cheval à la recherche d’un cavalier

L’akhal-téké, ou cheval turkmène, est un cheval longiligne et sensible, originaire du Turkménistan. Acheter un akhal-téké s’avère être une stratégie gagnante pour les cavaliers sportifs, tant ce cheval est endurant et robuste. Vendre un akhal-téké reste cependant un acte rare puisque la race est peu connue du grand public.

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Utilité et caractéristiques des akhal-tékés

Très proche de l’Homme, l’akhal-téké est un cheval particulièrement sensible. Il supporte mal les répétitions et la force, et attend de son cavalier des demandes claires et précises, mais également une grande écoute. Acheter un akhal-téké est donc plus conseillé aux cavaliers expérimentés qu’aux débutants. Vendre un akhal-téké, c’est également proposer une monture aux allures légères et élégantes, et à la robe aux reflets métalliques, pouvant aller du noir à l'isabelle.

Origine et histoire des akhal-tékés

D’abord élevée par un peuple nomade, les Tékés, la race est originaire du Turkménistan, un pays d’Asie centrale. Elle tire alors son nom de ce peuple, et de leur oasis nommée l’Akhal. Un climat rude, des déplacements fréquents et éprouvants, une forte proximité avec l’Homme, ont alors contribué à façonner ces chevaux rustiques. Particulièrement minces et de taille moyenne, ils se sont révélés comme étant très robustes, rapides et endurants.

Au XIXe siècle, la race frôle la disparition. A l’époque, acheter un akhal-téké ne suffit plus aux propriétaires de chevaux qui les croisent alors à des pur-sang anglais pour améliorer leurs performances. S’ajoutent à cela, au début du XXe siècle, une mécanisation de l'agriculture en URSS et un déclin du nomadisme qui entraînent à la fois des abattages massifs et une diminution de l’élevage. Malgré ce déclin impressionnant, le stud-book de la race est toutefois créé en 1941. En 1972, il évoluera de façon à ne plus permettre de vendre un akhal-téké né d’un croisement avec un pur-sang ou une autre race. Ces individus en sont alors exclus.

Si l’akhal-téké reste un cheval peu connu, son élevage s’est tout de même étendu hors des frontières du Turkménistan. Il est aujourd’hui également élevé en Russie, dans le Caucase, au Kazakhstan, en Allemagne, en Suisse, en France, et bien plus loin, en Australie et aux Etats-Unis.

Les chevaux akhal-tékés en équitation

Longiligne, fin, doté d’une tête élégante et porteur de grandes oreilles mobiles, l’akhal-téké est un cheval de selle très robuste. D’abord utilisé comme cheval de guerre et de désert, puis comme cheval de course, l’akhal-téké est aujourd’hui un cheval polyvalent, capable de pratiquer toutes sortes de disciplines équestres. Toutefois, grâce à sa rapidité, sa résistance et son courage, il excelle en concours complet et en endurance. Il est également possible d’acheter un akhal-téké pour la pratique du dressage, discipline dans laquelle certains individus se sont particulièrement démarqués, à l’image d’Absent, devenu champion Olympique en compagnie de son cavalier Serge Filatov.

Mais il n’est pas uniquement possible de vendre un akhal-téké pour l’équitation sportive, l’animal convient également tout à fait aux spectacles équestres. Il est notamment mis en scène par certains cirques.

L’akhal-téké, véritable emblème national

Acheter un akhal-téké c’est s’offrir un animal qui fait la fierté de son pays d’origine. Le Turkménistan agit pour le développement de l’élevage de la race, visant à vendre l’akhal-téké à l’international pour permettre son rayonnement. Le pays va même jusqu’à placer le cheval au centre de son blason. Il y est également célébré tous les ans en avril, durant le dernier dimanche du mois.

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